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Une découverte extraordinaire sous la pyramide de Khéphren bouleverse notre compréhension des merveilles de l'Égypte antique. En effet, une étude radar révolutionnaire a mis au jour un complexe souterrain aussi profond que la tour Eiffel, s'étendant sur deux kilomètres sous les trois principales pyramides de Gizeh.

 

Cette structure colossale, vieille de 4 500 ans, cache un réseau sophistiqué comprenant notamment cinq structures identiques à plusieurs niveaux, reliées par des passages géométriques. De plus, les chercheurs italiens ont identifié huit puits verticaux cylindriques menant à deux chambres cubiques monumentales de 80 mètres chacune, le tout descendant jusqu'à 648 mètres sous terre.

 

Cette découverte remet en question la théorie traditionnelle selon laquelle les pyramides n'étaient que de simples tombeaux royaux, suggérant plutôt l'existence d'une véritable cité souterraine aux fonctions encore mystérieuses.

 

#1. Des chercheurs italiens révèlent une cité souterraine sous Gizeh
#2. Les puits verticaux descendent à plus de 648 mètres de profondeur
#3. L'intérieur de la pyramide de Khéphren cache un système hydraulique complexe
#4. Des chambres monumentales défient les théories de construction traditionnelles
#5. Les experts débattent de la validité des découvertes
#6. FAQs
 

#1. Des chercheurs italiens révèlent une cité souterraine sous Gizeh

 

La présentation d'une supposée découverte archéologique majeure fait actuellement débat dans la communauté scientifique. Le 15 mars dernier, lors d'une conférence de presse organisée à Bologne, une équipe de chercheurs italiens a annoncé avoir identifié ce qu'ils décrivent comme une "véritable ville souterraine" sous le plateau de Gizeh, plus précisément à proximité de la base de la pyramide de Khéphren.

 

La technologie radar dévoile l'invisible

 

Les chercheurs affirment avoir utilisé un radar à synthèse d'ouverture (SAR) pour cartographier les structures souterraines du plateau de Gizeh. Cette technologie, censée produire des images du sous-sol, aurait permis selon eux d'obtenir des reconstitutions en trois dimensions particulièrement détaillées.

 

D'après leurs conclusions, cette méthode d'imagerie aurait révélé la présence d'une construction démesurée cachée sous les trois pyramides de Gizeh.

 

En présentant des modélisations 3D, l'équipe italienne prétend avoir découvert cinq structures à plusieurs niveaux, huit puits cylindriques et deux chambres en forme de cube "s'étendant sur deux kilomètres" sous la roche.

 

Ces images tomographiques, devenues rapidement virales sur les réseaux sociaux, montrent des rendus tridimensionnels ultra précis des structures supposées.

 

Cependant, les spécialistes remettent sérieusement en question la fiabilité de cette technologie pour de telles explorations. Jean-Guillaume Olette-Pelletier, docteur en égyptologie à l'Université Paris-Sorbonne, affirme qu'aucun radar ne peut plonger aussi loin "à cause de l'épaisseur des pierres".

 

De plus, le site de la NASA indique que ce type de radar contribue principalement à la modélisation de détails géographiques en surface, et non à l'analyse des profondeurs.

 

L'équipe de recherche présente ses conclusions

 

L'équipe à l'origine de ces affirmations est composée de quatre chercheurs italiens : Filippo Biondi, Corrado Malanga de l'université de Pise, Armando Mei et Nicole Ciccolo. Lors de leur présentation, ils ont exposé des résultats qui ont rapidement capté l'attention médiatique mondiale. "Nous découvrirons que, sous la pyramide, se trouve ce qui ne peut être décrit que comme une véritable ville souterraine", a déclaré Corrado Malanga.

 

Selon leurs analyses, les huit structures cylindriques identifiées seraient entourées de chemins en spirale et s'enfonceraient jusqu'à 648 mètres de profondeur. Ces puits seraient également reliés à deux chambres cubiques monumentales de 80 mètres de côté. L'ensemble formerait un réseau souterrain complexe s'étendant sur environ deux kilomètres sous le plateau de Gizeh.

 

Néanmoins, ces conclusions sont accueillies avec un scepticisme prononcé par la communauté scientifique. Le professeur Lawrence Conyers, expert en radar à l'Université de Denver spécialisé en archéologie, qualifie ces découvertes d'"énorme exagération". Bien qu'il reconnaisse que les pyramides n'ont pas encore livré tous leurs secrets, il souligne le manque de bases scientifiques solides dans cette étude.

 

De même, l'ancien ministre égyptien des Antiquités, Dr Zahi Hawass, a exprimé son désaccord, qualifiant ces découvertes de "fausses nouvelles". Plusieurs experts interrogés remettent en question non seulement la validité scientifique des méthodes utilisées mais aussi le caractère extrêmement précis des modèles 3D présetés, considéré comme un signal d'alarme par certains archéologues.

 

En contraste avec ces affirmations contestées, des projets comme la mission ScanPyramids, une initiative franco-égyptienne, travaillent depuis plus de dix ans sur le site avec des méthodes d'analyse non destructives comme la muographie.

 

Cette équipe a d'ailleurs fait des découvertes vérifiables, comme la présence d'un vide structurel confirmé en 2017 dans la pyramide de Khéops, avec des résultats publiés et validés par des pairs.

 

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#3. L'intérieur de la pyramide de Khéphren cache un système hydraulique complexe

 

Les nouvelles analyses des structures découvertes sous la pyramide de Khéphren révèlent un système hydraulique d'une complexité inattendue, remettant en question notre compréhension des techniques utilisées par les bâtisseurs de l'Égypte ancienne.

 

Des traces d'humidité observées dans la chambre souterraine indiquent que celle-ci fut inondée à une époque inconnue jusqu'à une hauteur de trente centimètres. Cette présence d'eau, loin d'être accidentelle, pourrait témoigner d'un système intentionnel conçu par les anciens Égyptiens.

 

Des canalisations traversent la structure souterraine

 

L'entrée située au pied de la face nord de la pyramide de Khéphren ouvre sur un couloir descendant que les Égyptiens avaient complètement bouché avec de gros blocs de calcaire. Ce corridor, aujourd'hui dégagé, présente une inclinaison de 21° 40′ et débouche sur un couloir horizontal initialement bloqué par une herse de granite. Cette configuration pourrait avoir servi à contrôler le flux d'eau dans la structure.

 

Par ailleurs, la chaussée montante du complexe de Khéphren, longue de 494,60 mètres exactement, comportait un élément révélateur : son plafond était percé d'ouvertures régulières laissant passer la lumière, mais également la pluie. Pour éviter les désagréments causés par l'eau, les architectes avaient prévu un petit canal d'évacuation au sol, témoignant d'une gestion hydraulique sophistiquée.

 

De récentes découvertes suggèrent que ce réseau pourrait être bien plus élaboré qu'on ne l'imaginait. Les chercheurs ont identifié ce qui semble être des canalisations traversant l'ensemble de la structure souterraine, formant un système comparable à celui découvert dans d'autres pyramides égyptiennes.

 

À Saqqarah, notamment, une pyramide vieille de presque 5 000 ans abriterait un système hydraulique complexe qui aurait facilité sa construction.

 

Les ingénieurs de l'Égypte ancienne auraient tiré parti du Nil et de ses crues annuelles, en utilisant un ingénieux système de canaux et de bassins au pied du plateau de Gizeh. Ce système aurait permis d'acheminer l'eau jusqu'aux profondeurs de la pyramide, où elle aurait servi à diverses fonctions techniques et pratiques.

 

Un réseau aquatique à 2100 pieds sous terre

 

À mesure que les explorations se poursuivent, l'hypothèse d'un réseau aquatique s'étendant jusqu'à 2100 pieds (environ 648 mètres) sous la surface prend forme. Les huit puits verticaux cylindriques identifiés par l'équipe de chercheurs italiens pourraient avoir joué un rôle fondamental dans ce système hydraulique. En effet, ces structures creuses auraient pu servir de conduits pour l'eau, permettant son acheminement vers les profondeurs de la cité souterraine.

 

Cette théorie trouve un écho dans d'autres découvertes archéologiques. Selon certains chercheurs, l'eau aurait pu s'écouler dans deux puits situés à l'intérieur de pyramides égyptiennes et aurait été utilisée pour aider à soulever et à abaisser un flotteur transportant les pierres de construction.

 

Ce mécanisme, comparable à un ascenseur hydraulique, aurait représenté une prouesse technique remarquable pour l'époque.

La configuration des puits verticaux, entourés d'escaliers en spirale, pourrait s'expliquer par la nécessité de surveiller et d'entretenir ce système hydraulique complexe. À l'image de ce qui a été observé dans la pyramide de Djéser à Saqqarah, l'eau aurait pu être guidée jusqu'au puits central et, par un système de vannes, produire des cycles de remplissage et de vidange.

 

L'existence d'un tel réseau aquatique à une profondeur aussi considérable soulève toutefois de nombreuses questions. Comment les Égyptiens auraient-ils pu concevoir et réaliser un ouvrage d'une telle ampleur avec les moyens techniques de l'époque ? Si cette hypothèse se confirmait, elle révélerait des connaissances en ingénierie hydraulique extraordinairement avancées pour une civilisation du IIIe millénaire avant notre ère.

 

Cependant, certains experts demeurent sceptiques quant à cette interprétation. Ils rappellent que l'iconographie égyptienne témoigne fréquemment de procédés différents utilisant des rampes et des traîneaux pour la construction des pyramides. De plus, les preuves archéologiques de ces techniques s'étalent sur les trois millénaires de Dynasties égyptiennes, attestant de leur pérennité.

 

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#4. Des chambres monumentales défient les théories de construction traditionnelles

 

Les gigantesques structures souterraines découvertes à la base de la pyramide de Khéphren ne se limitent pas aux huit puits verticaux. À leur extrémité inférieure, les analyses radar ont révélé la présence de chambres monumentales dont les dimensions défient l'entendement et remettent en question les théories traditionnelles sur la construction pyramidale.

 

Deux cubes de 80 mètres de côté découverts

 

Selon les chercheurs italiens, les huit puits cylindriques convergent vers deux structures cubiques colossales situées à 648 mètres sous la surface. Chacun de ces cubes mesurerait approximativement 80 mètres de côté, soit des dimensions comparables à un immeuble moderne de 25 étages.

 

Par ailleurs, ces chambres seraient positionnées symétriquement à l'extrémité des puits verticaux, formant ainsi la base de l'ensemble du complexe souterrain.

 

Cette découverte, si elle était confirmée, constituerait un défi majeur pour les archéologues et les ingénieurs. En effet, comment expliquer la présence de telles structures monumentales à une telle profondeur? Avec les technologies de l'Ancien Empire égyptien, la construction de chambres aussi vastes sous près de 650 mètres de roche représenterait un exploit technique sans précédent dans l'histoire de l'humanité.

 

Cependant, ces affirmations sont vivement contestées par plusieurs experts. Le docteur Jean-Guillaume Olette-Pelletier souligne qu'aucun radar ne peut plonger aussi loin "à cause de l'épaisseur des pierres". De même, le professeur Lawrence Conyers qualifie ces découvertes d'"énorme exagération".

 

La fonction mécanique potentielle remet en question l'hypothèse du tombeau

 

La configuration et les dimensions de ces structures cubiques suggèrent une fonction bien différente de celle d'un simple tombeau royal. Jusqu'à présent, la pyramide de Khéphren était considérée comme abritant le tombeau du fils de Khéops, qui régna de 2558 à 2532 avant notre ère.

 

Toutefois, la découverte de ces immenses chambres cubiques évoque davantage une fonction mécanique ou technique complexe.

En 1967, une mission scientifique menée par le prix Nobel de physique Luis Walter Alvarez tenta de détecter des chambres cachées dans le massif de la pyramide en utilisant des muons du rayonnement cosmique. Bien que cette recherche se soit soldée par un échec, elle témoigne de l'intérêt persistant des scientifiques pour les structures internes des pyramides.

 

Plus récemment, en 2000, l'architecte Gilles Dormion a identifié plusieurs anomalies significatives grâce à des mesures de micro-gravimétrie et de géo-radar. L'une d'elles serait provoquée par la présence d'une grande cavité. Néanmoins, aucune découverte n'avait jusqu'alors suggéré l'existence de structures aussi vastes et profondes que celles décrites par l'équipe italienne.

 

Ces supposées chambres cubiques monumentales, par leur taille et leur positionnement, suggèrent une fonction architecturale fondamentale, potentiellement liée au support structurel de la pyramide elle-même ou à un système mécanique complexe dont nous ignorons encore la finalité.

 

#5. Les experts débattent de la validité des découvertes

 

La communauté scientifique internationale exprime de sérieuses réserves concernant les supposées découvertes sous la pyramide de Khéphren. Depuis l'annonce des chercheurs italiens, les égyptologues et archéologues du monde entier ont manifesté leur scepticisme, qualifiant ces révélations de "fake news", selon l'ancien ministre égyptien des Antiquités, Zahi Hawass.

 

Les critiques pointent les limites technologiques

 

Les experts remettent fondamentalement en question la capacité technique des instruments utilisés. Le professeur Lawrence Conyers, spécialiste des radars à l'Université de Denver, affirme qu'il est "impossible pour la technologie actuelle de pénétrer aussi profondément dans le sol par cette méthode, ce qui rend l'idée d'une ville souterraine très exagérée". Cette limite technique constitue l'argument principal des détracteurs.

 

Claude Obsomer, égyptologue et professeur à l'UCLouvain et à l'UNamur, souligne une incohérence géologique majeure : "Nous savons de façon certaine que la pyramide de Khéphren est construite autour d'un massif rocheux naturel auquel les Égyptiens n'ont pas touché, comme en témoigne la chambre sépulcrale qui est taillée dans le rocher en place". Par conséquent, il serait physiquement impossible que des structures aussi volumineuses aient pu être enfouies à une telle profondeur.

 

Par ailleurs, Julien Riel-Salvatore, directeur du Département d'anthropologie de l'Université de Montréal, critique la méthode de communication choisie : "La manière dont c'est présenté, dont l'information est véhiculée, ce n'est pas crédible. On escamote le processus normal où il y a une étude évaluée par les pairs". Il ajoute que "des affirmations incroyables, ça prend des données incroyables. Et là, les données ne sont pas encore au rendez-vous".

 

Les défenseurs présentent leurs preuves scientifiques

 

Face à ces critiques, les défenseurs de la découverte tentent de valoriser leurs méthodes. Nicole Ciccolo, porte-parole du projet, qualifie leur travail d'"étude révolutionnaire qui redéfinit les limites de l'analyse des données satellitaires et de l'exploration archéologique".

 

Néanmoins, une étude publiée le 5 mai 2024 dans la revue Archaeological Prospection semble apporter certains éléments tangibles. Dirigée par Motoyuki Sato, l'équipe a découvert "une structure en forme de L de 15 mètres de long sur 10 mètres de large" à seulement 2 mètres sous la surface.

 

Cette même étude évoque également l'existence d'une "structure plus profonde" de 10 mètres de côté, située entre 3,5 et 10 mètres de profondeur. Toutefois, ces dimensions restent sans commune mesure avec les 648 mètres de profondeur annoncés par l'équipe italienne.

 

Autre point troublant : les antécédents des chercheurs italiens suscitent des interrogations. Corrado Malanga, chimiste membre de l'équipe, "adhère à des théories pseudo-archéologiques marginales, en plus de verser dans l'ufologie".

 

Il a notamment déclaré que "la grande pyramide de Gizeh est une machine qui a servi à sauver la vie du pharaon". De son côté, Armando Mei, qui se présente comme "chercheur archéologique indépendant", a publié des ouvrages sur des théories largement démenties par la communauté scientifique.

 

Cette prétendue découverte d'une cité souterraine sous la pyramide de Khéphren soulève plus de questions qu'elle n'apporte de réponses. Sans doute, l'annonce des chercheurs italiens concernant ces structures colossales, comprenant huit puits verticaux et deux chambres cubiques monumentales, a captivé l'imagination du public. Néanmoins, les critiques fondamentales émises par la communauté scientifique internationale remettent sérieusement en question la validité de ces affirmations.

 

Les limites technologiques actuelles des radars, associées aux incohérences géologiques relevées par les experts, suggèrent une prudence nécessaire face à ces conclusions spectaculaires. Par conséquent, cette controverse rappelle l'importance cruciale d'une méthodologie scientifique rigoureuse dans l'étude des merveilles de l'Égypte antique.

 

En définitive, bien que les mystères entourant la construction des pyramides continuent de fasciner, seules des recherches validées par des pairs, menées avec des méthodes éprouvées comme celles de la mission ScanPyramids, permettront de percer les véritables secrets de ces monuments millénaires.

 

Ainsi, cette polémique scientifique témoigne de la complexité persistante des énigmes archéologiques du plateau de Gizeh, tout en soulignant la nécessité d'une approche méthodologique irréprochable dans leur exploration.

 

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#6. FAQs

 

Q1. Quelle est la prétendue découverte majeure sous la pyramide de Khéphren ?

Des chercheurs italiens affirment avoir découvert une cité souterraine s'étendant sur deux kilomètres sous la pyramide, comprenant huit puits verticaux et deux chambres cubiques monumentales à 648 mètres de profondeur.

 

Q2. Comment cette supposée découverte a-t-elle été réalisée ?

L'équipe de recherche prétend avoir utilisé un radar à synthèse d'ouverture (SAR) pour cartographier les structures souterraines, produisant des images tridimensionnelles détaillées du sous-sol.

 

Q3. Quelles sont les caractéristiques principales de cette prétendue cité souterraine ?

Selon les chercheurs, elle comprendrait huit puits cylindriques verticaux entourés d'escaliers en spirale, descendant à 648 mètres de profondeur, ainsi que deux chambres cubiques de 80 mètres de côté à la base.

 

Q4. Quel est l'accueil de la communauté scientifique face à ces affirmations ?

La majorité des experts exprime un fort scepticisme, remettant en question la fiabilité de la technologie utilisée et soulignant l'impossibilité géologique de telles structures à cette profondeur.

 

Q5. Ces découvertes remettent-elles en question notre compréhension des pyramides égyptiennes ?

Si elles étaient confirmées, ces découvertes remettent en question la théorie traditionnelle des pyramides comme simples tombeaux royaux. Cependant, la communauté scientifique reste très prudente et demande des preuves plus solides avant de reconsidérer les théories existantes.

 

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